Résumé du tome 1, Rencontre avec Gaëria

 

Fëasil, Klaod Imenel, trois amis, partent étudier à Iluvendan, grande cité où la magie et la technologie sont créées par une même matière première, le Iölthan.

Arrivés sur place, ils découvrent rapidement des rumeurs d’une pénurie de Iölthan, puis intègrent chacun une école différente.

Feäsil devient graveur, les experts du maniement du Iölthan pour les arts magiques. Klaod rejoint l’Académie militaire, et Imenel les Acrombres (experts du monde des ombres). Vulien Telkar, légende de la gravure, devient le maître de Fëasil.

 

Une séance extraordinaire a lieu au Sénat. L’annonce est terrible : plus que cinq ans de réserve de Iölthan. Limitation du cristal au fonctionnement de la cité et aux usages nécessaires à la défense. Missions de recherche à l’extérieur du pays et en particulier dans un autre : El Menin. Comprendre par-là envisager la guerre…

 

Encore loin de ces considérations, les adolescents commencent leurs formations :

Fëasil attend son maître, qui a des méthodes peu orthodoxes.

Il fait des rêves étranges, durant lesquels il éprouve une certaine perception de la magie.

Klaod, à l’Académie, apprend que les nouvelles directives du gouvernement font que l’Académie doit se tenir prête en cas d’attaque du Rixis, pays voisin.

Les trois jeunes se retrouvent au bout d’un mois. Imenel leur révèle ce qu’elle a appris : une attaque contre des bateaux de marchandises transportant du Iolthän de leurs voisins ménins. Cela n’est qu’un prétexte pour entrer en guerre contre le pays. Klaod est effectivement appelé à partir.

 

Fëasil vit mal la séparation avec son frère. Il ressent de manière inexplicable ce que ce dernier vit. Telkar le fait rentrer dans la résistance Annathine, groupe en désaccord avec le consul et la guerre. De manière globale, cette résistance cherche à trouver un nouveau principe de consommation du Iölthan.

Lors de la première réunion, en guise de droit d’entrée, Telkar révèle un dessin réalisé par Fëasil lors de ses examens, qui prouve des capacités de graveur et des perceptions hors du commun. Imenel s’y fait prendre en train d’espionner. Durant la réunion, la présence d’une police secrète qui élimine les opposants au gouvernement est révélée.

 

Telkar trouve des informations qui confirment ses intuitions et décide de partir vers l’ouest. Il y aurait des gisements de Iolthän partout dans le monde et seraient tombés dans l’ombre après la Déchirure. Il veut explorer au-delà des limites imposées.

 

L’attaque sur El Menin est un massacre. Klaod se fait emprisonner. Il rencontre Narf, un homme du désert. C’est grâce à lui qu’il réussit à s’échapper. Fils d’adoption des hommes du désert, son souhait est de reprendre El Menin. Pour cela, il doit retourner dans le désert annoncer la nouvelle de la fin des Salameïn à son peuple. Il décide de prendre Klaod avec lui. Ils sentent mutuellement une confiance naître. Leur rencontre n’est pas le fruit du hasard.

 

Telkar, Imenel et Fëasil continuent leur route vers l’ouest. Ils se font attaquer par des moggloms, créatures difformes et maléfiques, et sont sauvés in extremis par une créature étrange. C’est une femme druide capable de se métamorphoser, Eänielle. Ensemble, ils atteignent les frontières du Rixis et arrivent à la ville de Khmav. Là, le Iolthän est vert et jamais déterré de par son caractère sacré. Eänielle révèle à Fëasil qu’il a le don de clairvoyance, ce qui explique ses visions.

 

Klaod découvre que le Iolthän menin est ocre et non noir, ainsi que l’utilisation et les croyances qu’en a Narf. Ce dernier en apprend plus sur ses origines et confirme le voyage qu’il devait entreprendre vers l’est à la recherche d’une cité perdue, où vivrait un peuple capable de les aider à récupérer El Menin. Klaod décide de le suivre dans sa quête, de plus en plus convaincu d’un lien entre eux deux. Ils traversent le désert et arrivent à la bordure du monde. Ils y découvrent Kaz Narg, la cité du Iolthän rouge, et son étrange petit peuple.

 

Eänielle révèle qu’elle vient d’une autre cité du Iolthän qui est restée assez préservée de la Déchirure. Elle aussi a des rêves étranges concernant les jumeaux – raison pour laquelle elle a décidé de les sauver dans la forêt.

Telkar demande de l’aide au roi pour raisonner Iluvendan sur son mode de consommation et d’utilisation du Iolthän. La cité se fait attaquer par les moglloms et, dans l’espoir d’une future alliance, Telkar s’engage à les aider.

 

Là où se trouvent Klaod et Narf est le lieu du début de la Déchirure. Ils ont la même vision de Telkar et les autres repartant pour Iluvendan et décident de repartir. Sur leur chemin de retour, ils sont victimes d’un attentat, menés par une secte faisait partie des Acrombres, les Elymnias.

 

En rentrant à Iluvendan, ils se rendent compte que la situation a bien changé. Les communications télépathiques entre les cinq se renforcent. Un représentant des Elymnias, Salmacis d’Hypolimnas, vient se joindre aux Annathins pour lutter contre Virlaq, le chef du Sénat. Chacun fait le compte-rendu de ses aventures.

 

Ils se font les représentants des quatre différents cristaux qu’ils ont trouvés. Une force les unit et les marque, quand ensemble ils les montrent. Fëasil prouve l’existence d’un cinquième, qui les unit tous.

 

À l’issue de nombreuses aventures, les compagnons réunissent les forces des différentes contrées loin d’Iluvendan pour mettre fin aux actions maléfiques de Virlaq, suite à une colossale bataille dans les rues de la ville mettant en scène magie des Graveurs, les métamorphes, et les experts en technologie (zeppelins, gants de combats, et exosquelettes steampunk). L’alliance des peuples permettra de sauver Iluvendan d’une autarcie ne menant à rien.